Peyrepertuse ou « encore des châteaux !!! »

Moi… j’aime les châteaux… je l’ai probablement déjà dit mais tant pis ? J’ai profité du voyage à la frontière espagnole pour retourner dans la région de Carcassonne et visiter le second château que j’avais vu dans la région. Le premier, vous vous en souvenez, était Queribus. Cette fois c’est au château de Peyrepertuse que je me suis rendu. Ils sont visibles l’un de l’autre et tout aussi impressionnant l’un comme l’autre pour leur emplacement. Posé sur des pics rocheux abrupts.

Ce château cathare du XIe siècle se trouve à 800 mètres d’altitude sur la commune de Duilhac-sous-Peyrepertuse dans l’Aude. Il fait partie d’un ensemble de cinq châteaux bâtis par les catalans pour protéger la frontière. La position de celui-ci le rendait « imprenable » et par conséquent il n’a jamais été attaqué… Si l’histoire vous intéresse je vous invite à lire Wikipédia en cliquant-ici.

La balade est agréable même s’il y a un peu de monde et énormément de vent. Mais comme vous pouvez l’imaginer la vue sur la région depuis les ruines est à couper le souffle. Après la visite, nous avons eu la chance d’assister à une démonstration de fauconnerie. Pauvres bêtes… le vent leur a donné du fil à retorde. D’ailleurs deux d’entre eux n’ont pas pu prendre leur envol. Mais le spectacle était chouette.

Peu de choses à dire en plus, si ce n’est que je vous invite à visiter ces châteaux si vous passer dans la région de Carcassonne.

Continuer à lire “Peyrepertuse ou « encore des châteaux !!! »”

Carcassonne

La première fois que j’avais tenté, c’était un 15 août, avec tout ce qui va avec: embouteillage sur l’autoroute, parking bondé et à trois kilomètres de la cité et je vous passe les autres joyeusetés. Le charme n’avait pas pu agir mais je m’étais promis de revenir en prenant le temps de me poser un peu.
C’est chose faite depuis mes dernières vacances. J’ai pu savourer tous les charmes de cette cité médiévale pendant deux jours. Visite guidée avec conférencier, promenade sur les remparts de jour et de nuit et bien entendu dégustation du mets  local raffiné et prisé : le cassoulet… (sans aucun effet secondaire, je vous l’assure). J’ai aussi sacrifié au foie gras, gésier, et coucougnettes (je ne suis pas un pervers, les curieux chercheront et trouveront). Tous ça pour vous dire que j’ai vraiment apprécié cette parenthèse à sa juste valeur. Comme d’habitude, j’ai pris des milliards de photos: vous ne croyiez tout de même pas vous en tirer à si bon compte?